23 juin 2006
DEUX PYRAMIDES ET UN JARDIN DU SOUVENIR DANS UN CIMETIERE MODERNISE
Placé sous la responsabilité de Ludovic Grisot, le cimetière d’Hirson enregistre chaque année, un peu plus d’une centaine d’inhumations.
L’évolution de la société et des rites funéraires amène cependant des mutations prises en compte par la Municipalité.
Dès 1999, grâce à un investissement de 17 462 €, elle implantait un columbarium de 18 cases. Quelle pouvait être la réaction de la population ? Aujourd’hui, 17 accueillent les cendres des défunts. Une seule reste disponible (notre photo). Pour répondre aux besoins grandissants, il importait donc d’agrandir l’ensemble.
Au-delà du columbarium, les familles désiraient également bénéficier d’un jardin du souvenir, là où les cendres sont susceptibles d’être épandues.
La surface réservée s’accompagne donc d’une flamme posée sur un lit de galets blancs qui délimite le périmètre. Quatre bancs en granit y facilitent désormais le recueillement.
Quant aux deux nouvelles pyramides, elles comptent 28 cases susceptibles d’abriter deux à trois cendriers funéraires et quatre cases communes temporaires.
Cet ensemble, d’un coût total de 48 917 €, répond donc aux nouveaux besoins des familles et donne au cimetière d’Hirson une nouvelle dimension esthétique et culturelle.
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