29 juillet 2006
Sécurité, fluidité, nouveau parking, requalification urbaine, LE COLLÈGE COBAST S’OUVRE SUR SON QUARTIER.
Quelle place pour la voiture et pour le piéton ? L’équilibre demeure toujours difficile à trouver. D’autant que le même citoyen, tour à tour appelé à se déplacer à pied et au volant, l’oublie régulièrement.
Si certains parents pouvaient même amener leur enfant dans la classe avec leur véhicule, il le ferait. Garantir la sécurité des uns tout en facilitant la fluidité de circulation pour les autres, tel est l’objectif des aménagements engagés aux abords du Collège Cobast.
L’établissement de la rue Allende est, en effet, desservi par neuf bus le matin et six le soir. Aujourd’hui, ils doivent stationner au droit du collège pour la dépose et la reprise des élèves.
Le croisement sur place montre des véhicules des parents et des bus entraînent donc d’évidents problèmes de stationnement.
En concertation avec le Principal Dominique Mallet et les équipes éducatives, la Municipalité et le Conseil général ont donc décidé de créer un couloir de circulation, un stationnement longitudinal réservés aux bus ainsi qu’un abri réservé aux élèves.
Un espace de giration est prévu pour les bus provenant de la rue Jacques Duclos. Un sens unique de circulation est, de ce fait, rendu obligatoire pour les véhicules légers.
Plus spectaculaire, la construction d’un nouveau parking sur l’emplacement de l’ancien bac à sable, à la fois dangereux et insalubre, permet la création de vingt-cinq emplacements avec des espaces verts et de nouveaux candélabres. De plus, elle ouvre d’avantage encore le collège sur le quartier.
La sculpture, aujourd’hui enfouie dans la végétation de la cour, sera d’ailleurs déplacée et éclairée au centre du parterre fleuri de la chaussée.
Plus qu’un simple aménagement, cette requalification urbaine, conçue par la DDE et notamment avec Marie-Françoise Thiry, sera achevée pour la rentrée scolaire.
D’un montant de 448 765 €, ces investissements bénéficient de l’aide (importante) du Conseil général et de l’Etat au titre de la DGE.
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