3 novembre 2007
DES PYRAMIDES POUR ENTRETENIR LA MÉMOIRE.
L'incinération et des jardins du souvenir modifient l'approche de la mort et, avec elle, la relation aux défunts. Il faudra cependant attendre encore quelques années pour en mesurer l'impact sur les coutumes familiales au moment de la Toussaint.
Malgré tout, à Hirson, depuis la création du premier columbarium en 1999, cette pratique rassemblent de plus en plus d'adeptes. Les dix-huit cases initiales sont, en effet, occupées. L'an dernier, la Municipalité a même décidé de construire deux pyramides et vingt-sept cases susceptibles d'accueillir chacune entre deux et trois urnes funéraires et quatre cases temporaires.
Cette évolution n'empêche nullement le recueillement, le fleurissement et l'hommage rendu aux défunts. Les pyramides comme les sépultures traditionnelles entretiennent la mémoire.
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