7 février 2008
ÉLECTIONS MUNICIPALES : POUR JEAN-JACQUES THOMAS « QUI A FAIT, FERA. »
« Depuis mon élection, je me bats pour qu'Hirson, notre ville, celle où je suis né, où j'ai grandi, où j'ai choisi de vivre avec ma famille, soit une cité plus forte et plus solidaire.
Voilà pourquoi, fidèle à cet engagement, j'ai décidé d'être candidat à l'élection municipale. Il s'agit là d'un moment décisif pour l'avenir de notre cité, de la Communauté de communes, mais aussi pour la vie de chacun ».
Au cœur du Champ-Roland, dans « la Maison de quartier, œuvre municipale, et non pas dans une Maison fruit de l'héritage familial », le Maire d'Hirson s'appuya tout d'abord sur le bilan de l'équipe municipale.
« De nombreuses réalisations et de nouveaux chantiers, expliqua-t-il, témoignent de cette vitalité retrouvée avec cent logements construits, l'Ile Verte, Centre de loisirs de nouvelle génération, l'usine de traitement des eaux la plus moderne, avec Blangy, jadis confisqué au profit de quelques-uns, devenu un site public réaménagé au bénéfice de tous, la nouvelle gendarmerie et ses trente-quatre logements qualifiés par la Ministre de l'Intérieur de « référence nationale ». A l'instar de la saison culturelle Trans'frontalière ou du Festival de jazz ».
En reprenant le slogan de leur liste « du cœur à l'action », Jean-Jacques Thomas, Yannick Marlant, Francis Vilaire et Gérard Balitout rappelèrent que leurs idéaux de justice et la solidarité leur ont permis d'agir nous pour améliorer le quotidien des Hirsonnais.
Et de citer les sept restaurants d'enfants ouverts, l'épicerie solidaire, les 20 051 repas portés à domicile, les dix-neuf aide-ménagères, les 82 personnes accueillies en ateliers et chantiers d'insertion, le plan d'accès « handicapés », les centres de loisirs ou l'accueil périscolaire.
S'appuyant sur ce bilan « légitimité par la preuve », Jean-Jacques Thomas proposa donc de poursuivre l'action entreprise avec une équipe rassemblée autour d'un même projet, d'un Contrat de confiance.
Socialistes, Communistes, Verts et Personnalités de la société civile composent cette équipe renouvelée. « Disponibles et accessibles, forts de leur représentativité, continua le Tête de liste, ils ont d'abord été choisis sur leurs valeurs : compétence, innovation, générosité.
De poursuivre : « Sans débauchage, ni regroupements familiaux, cette liste est d'abord une liste d'union. Pour avancer, il faut, en effet, d'abord rassembler. Par le passé, Hirson a, en effet, trop souffert de ses divisions.
Face à une liste emmenée par un candidat faussement apolitique mais clairement soutenu par l'UMP, je conduis une équipe cohérente, assumant, sans complexe, ses orientations et ses convictions de Gauche ».
Dans un clin d'œil, Jean-Jacques Thomas expliqua préférer à « la pratique solitaire du haut d'un balcon, la pratique collective de la chaîne d'union, seule capable d'éviter les errements et les combats stériles de 1983 à 1989 ».
Pour lui, seule une ville rassemblée et unie sera, en effet, en mesure de « construire 480 logements, de créer un nouveau Parc d'activités industrielles sur Batavia avec l'implantation de l'usine « Galloo », de rénover le cinéma « Sonhir », d'ouvrir une salle d'exposition, de renforcer l'éclairage public, de requalifier les entrées de ville, la liaison collège-lycée et l'ancien collège Jules Décamp, de privilégier les énergies renouvelables, d'implanter la première Maison de l'Autonomie, de moderniser le collège Cobast et les écoles, de valoriser nos espaces naturels et de tourisme ».
De conclure : « C'est notre engagement. Car qui a fait, fera ! »
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