1er MAI : LE PACTE DE STABILITÉ AU CŒUR DES DEBATS ENTRE SYNDICATS ET MUNICIPALITÉ.

Comment pouvait-il en être autrement ? « Mais, précise, Jean-Jacques Thomas, c’est tout l’intérêt de cette rencontre annuelle, le jour symbolique du 1er mai, entre la Municipalité et les syndicats. Du reste, le dialogue s’avère d’autant plus nécessaire que les élus ont toujours besoin d’entendre les revendications et les propositions des partenaires sociaux ». Depuis, maintenant dix-huit ans, Jean-Jacques Thomas et sa Municipalité convient, en effet, les syndicats pour une discussion sans tabous, ni faux-semblants. Et donc, sujet d’actualité, le pacte de stabilité occupa la première partie des débats. 

« Nous ne pouvons plus laisser filer une dette de 2 000 milliards d’euros », expliqua Jean-Jacques Thomas, rappelant au passage qu’elle était de 1 300 milliards en 2008. « Chaque année, continua-t-il, le remboursement des intérêts s’élève à 45 milliards et si demain, à la crise budgétaire s’ajoute, la crise du financement, l’augmentation de 1% des taux d’intérêts se traduira la première année par une augmentation de trois milliards et six milliards le seconde année. Les conséquences du laisser-faire sont, malheureusement, connues au Portugal, en Grèce ou en Irlande ».

« Oui, mais, rétorquèrent en substance Marie-Claude Clouet et Didier Devaux, au nom de la CGT, ce n’est pas aux plus pauvres de payer pour les plus riches et, notamment, pour les banquiers et empoché ne se traduit pas souvent par embaucher ». Pour Jean-Jacques Thomas, s’il importe aujourd’hui, plus qu’hier encore, d’endiguer la montée du chômage et, pour cela, de retrouver une croissance indispensable, les partenaires sociaux doivent pouvoir la possibilité de vérifier du bon usage des contreparties du Crédit Impôt Compétitivité Emploi (CICE). « A condition, répond Didier Devaux, que les élus des Comités d’entreprises disposent d’une formation économique obligatoire ».

Sur l’ensemble de ces points, Jean-Jacques Thomas a donc proposé d’inviter le Préfet, Hervé Bouchaert, de manière à entendre les revendications et les propositions syndicales, mais également leurs doléances sur des dossiers aussi sensibles que l’absence de reclassement chez « Fauquet », au Nouvion, et les inquiétudes également manifestées par la CGT chez « France Pinceaux », à La Capelle, la cartonnerie, de Vervins, ou « West pharmatical », au Nouvion.

Comments

[chalom02]

Bonjour,

sujet à part; il serait judicieux de mettre un avis pour les travaux de jardinage les week- end. nous sommes dimanche depuis 13h35 une personne du quartier de la Briquetterie TOND nous avons contacté la gendarmerie qui répond ne pouvoir y remédier!!!!!!??????

BONJOUR LA CIVILITE!!!!!!!!!!!