DIFFICILE APPRENTISSAGE POUR DES HIRSONNAIS EN RECONSTRUCTION.
Les débuts sont difficiles. Alors qu’en première période, bien que menés au score, les Hirsonnais avaient plutôt fait jeu égal avec leurs adversaires, par deux fois, la défense axonaise laissa les attaquants de Saint-Maximin partir seuls à l’abordage du jeune Debruyne. Tout d’abord, sur une main non sifflée, la défense thiérachienne s’arrête. Lefebvre en profite donc pour placer le ballon au ras du poteau (66e) puis, sur un hors-jeu manifeste, Mehadji n’a aucune difficulté à alourdir le score (87e) (notre photo).
A 3-0, le score s’avère d’autant plus sévère que d’entrée, Azouza manque de lober son propre gardien (2e) puis Gakou frappe le petit filet saint-maximilois (5e). Pour autant, Debruyne doit également s’interposer devant Lefebvre (15e) et Leroux (20e). Il ne peut cependant rien faire, sur le tir croisé du même Lefebvre (23e) : 1-0.
Alors que rien n’est perdu au tableau d’affichage, malgré les débordements de Flamant sur le côté gauche, le milieu hirsonnais va cependant flancher. La reprise de volée de Leroux trouve d’abord la transversale hirsonnaise (61e) avant que Saint-Maximin ajuste la mire par deux fois. Le réalisme isarien a incontestablement secoué une formation hirsonnaise en reconstruction.