27 mai 2015
UNE PETITE VALISE POUR UN SYSTÈME ÉLECTRONIQUE PARTICULIÈREMENT SOPHISTIQUÉ.
Comme le veut la tradition, à 23h, sous l’œil vigilant d’Yvon Hamza, avec le public, Jean-Jacques Thomas égrène le compte à rebours qui donne le top départ du spectacle pyrotechnique. A ce moment précis, Guy Billecoq appuie sur le bouton rouge de sa petite valise pour que le ciel s’embrase. Elle est bien loin l’époque où les artificiers allumaient les mèches des longs tubes disposés sur le sol. Sécurité et mise en scène obligent, l’électronique est passée par là. A cent mètres du site, les impulsions sont données par une antenne HF et le spectacle enregistré peut démarrer. Petit clin d’œil, la première fusée fut lancée sur le titre (particulièrement) adapté de Jean-Jacques Goldman : « Envole moi ».
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