SUR UN POÈME DE SABINE AUSSENAC, MAÏLYS LE GUERN INCARNE MARIANNE.
Née en 1961, professeur et écrivain français, Sabine Aussenac est également un auteur de romans, de nouvelles et de poèmes plusieurs fois primés. Les critiques souligne qu’elle s'attache à faire connaître et aimer la poésie en dehors des sentiers battus de la modernité.
« Au 14 juillet, ton histoire est la mienne » évoque évidemment la République, la Bastille tombée, Robespierre et Danton, mais également la France des flonflons, des accordéons « lorsque de nos villages aux confins de Paname, un seul peuple festoie de bon cœur et d’une âme ».
Sur une musique des feux d’artifice, de Haëndel, un drapeau tricolore à la main, élève et choriste de Colette Chirez, Maïlys Le Guern, treize ans, reprit donc les vers de Sabine Aussenac pour conclure : « Nul ne m’enlèvera ma valeur citoyenne. Je me sens Marianne et te salue ma France. Accorde-moi encore cette dernière danse. Au 14 juillet, ton histoire est la mienne ».