CASSE DES CONTRATS D’UTILITÉ PUBLIQUE : JEAN-JACQUES THOMAS SAISIT LE PRÉFET.
Ce week-end, le Premier ministre Edouard Philippe a confirmé sa volonté de réduire le nombre de contrats aidés. Peu de temps auparavant, le Président de la République donnait une interview au « Point » dans laquelle il parlait de « l’investissement humain », regrettant que les Français se soient « résignés à une vie démocratique sans sel ». Sans doute, faute d’avoir brigué et obtenu un mandat local, Emmanuel Macron ne connaît, ni le piment de la vie de Maire, ni, aujourd’hui, l’amertume, fruit d’un quotidien que ces décisions rendent désormais insupportables aux plus fragiles et aux plus faibles.
En particulier, les contrats aidés indispensables à la vie locale et au (bon) fonctionnement des écoles. Hier, jour de rentrée, Jean-Jacques Thomas et la délégation municipale ont sensibilisé les parents d’élèves. La veille, le Maire d’Hirson avait rencontré le Préfet de l’Aisne pour lui faire part de l’injuste et inefficace décision gouvernementale. Une prise de position qu’il a réaffirmée hier dans un courrier en attirant l’attention de Nicolas Basselier sur les cas particuliers et la détresse de ces femmes et de ces hommes ainsi sacrifiés. Quant à la pétition en ligne, hier, à 23h, elle totalisait 1 208 signatures. La mobilisation continue en cliquant ICI