LES BADAUDS EN NOMBRE ENTRE LES ALIGNEMENTS D’ÉTALS.
Une ou deux averses orageuses et même, vers 17h30, quelques grêlons n’ont pas douché le souhait des badauds de « descendre » sur la Sainte Catherine. Même si depuis 252 ans, le vaste marché ne cesse d’évoluer, la tradition perdure. Dès 6h30, les premiers des cent cinquante étals ont commencé à se déplier dans le cœur de la cité où Jean-Jacques Thomas, Jean-Louis Bricout et Alain Reuter ont coupé le ruban inaugural.
Vers 11h, la foule arpentait déjà la rue Charles De Gaulle à la recherche de l’affaire du jour ou simplement pour humer l’air du moment. Vêtements et fripes figuraient en nombre et voisinaient avec les bonbons, les premiers décors de Noël, les accessoires canins, les pralines et les nougats sans oublier les tresses d’aulx à l’odeur fumée. Ni Saint-Nicolas venu pour des selfies certes commerciaux, mais, finalement, intemporels.