NI ÉCHANGE, NI RETOUR POUR LA " BELLE-MÈRE ", MAIS DU RIRE A REVENDRE.
Vendredi soir à l’Eden, d’abord très dépouillé, l’espace fut rapidement envahi par une personnalité assez exceptionnelle : celle de la « Belle-mère ». Pour continuer dans l’imaginaire, le public a découvert un très savant dosage entre « La famille Bodin », les « Vamps » assaisonné d’une pincée de Picard. Une fois le décor posé et le personnage placé sous les lumières, il suffit alors de dérouler l’histoire.
Quelques sollicitations du public offrent alors à tous la possibilité de participer sous une forme exclusive : le rire. Parfois surprenant, parfois très classique, parmi les poncifs adressés ou attribués à « La mère de l’autre », le choix du déroulé des évènements n’en reste pas moins original et cohérent tant dans ses enchaînements que dans le caractère ubuesque affiché. Merci Ludovic Givron, Philippe Arezki et félicitations à Josette Janssen.