10 mai 2018
L’ÉMOTION SUSCITÉE PAR CES ÉTRANGERS MORTS POUR LA FRANCE.
« Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent. Vingt et trois qui donnaient le cœur avant le temps. Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant. Vingt et trois amoureux de vivre à en mourir. Vingt et trois qui criaient la France en s’abattant ».
Sur une musique de Léo Ferré, « L’affiche rouge », le poème d’Aragon dédié aux Francs-Tireurs et Partisans – Main d’œuvre immigrée trouve toujours un écho particulier place Victor Hugo.
Interprété par Benoit Fossy au milieu des choristes du Conservatoire, cet hommage rendu à Missak Manouchian et à ses vingt-deux camarades fusillés au Mont Valérien ajouta à l’émotion des commémorations hirsonnaises et raviva le sacrifice de ses étrangers morts pour la France.
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