LES INSTANTS MAGIQUES D’UN CONCERT EXCEPTIONNEL.
Alfred Brendel et Kit Armstrong sont des hommes de notes. Pour la circonstance, le premier est apparu comme un homme de lettres. Sur le mur de l’église Sainte-Thérèse, sont apparues les définitions des mots tirés de son abécédaire. Entre « accents » et « zarzuela », il a choisi « cantabile », « virtuosité », « cohésion », mais également « Liszt », « Mozart » et « ému ». Une émotion partagée par le public conscient comme l’indiqua Jean-Jacques Thomas de vivre un moment exceptionnel avec ces deux artistes, citoyens du monde, capables d’abolir le temps et les frontières et d’appeler les plus grands à leurs côtés. Instants magiques lorsque Bach et ses préludes s’invitent à Hirson pour réunir un jeune homme et un vieux monsieur, un élève et un maître, deux immenses artistes.