LES CAFÉS LITTÉRAIRES HIRSONNAIS SONT D’ABORD AFFAIRE DE PASSIONS PARTAGÉES.
La médiathèque du château accueillait un public désormais fidélisé par les cafés littéraires. Au programme de cette nouvelle édition, la rencontre débat avec Marguerite Julia, auteure thiérachienne dont le catalogue de publications lui permit d’évoquer « La Mutine », un roman historique mettant en scène la canonnière commandée par son arrière-grand-père pendant la guerre du Tonkin ; « Sursis », un thriller, « Le droit des larmes », autobiographie déguisée, sans oublier « Dans les yeux des autres », « Symphonie » et « Pour une amourette ».
La quinzaine de lectrices assidues de la médiathèque ont engagé le dialogue avec cette parisienne d’origine, devenue thiérachienne, riche d’une solide formation littéraire. A Hirson, elle a détaillé sa démarche d’écrivain et dévoilé les arcanes de l’édition. Avant tout, Marguerite Julia a fait partager sa passion qui la fait se lever aux aurores ou passer une nuit blanche, une passion qui va jusqu’à la contraindre à écrire à la main, une passion partagée avec la quarantaine de personnes présentes à ce troisième café.