CINÉMA, JAZZ ET VOIX FONT, DÉCIDÉMENT, BON MÉNAGE.
Sorti fin 2018, ode sur fond musical à la tolérance dans l’Amérique ségrégationniste, « Green book » raconte la tournée réalisée dans les États du Sud en 1962 par le pianiste noir Don Shirley et son chauffeur et garde du corps blanc Tony Vallelonga. Un magnifique voyage auquel s’étaient associés la trentaine de choristes du Conservatoire avec un aller-retour Vancouver – Saint-Tropez en compagnie de Véronique Sanson et des Chats sauvages.
Avec un premier trio composé de Noëlle Grégoire, au piano, Jonathan Verheyen, au sax, et de Julien Ryckaert aux percussions, un autre trio, de voix celui-là, avec Lény Martin, Émeline Boulot et Nolwenn Sirodot, reprit d’autres standards signés Elvis Presley, Jerry Lee Lewis, John Travolta et Olivia Newton-John.
Sans oublier Gaylor Chauderlier dans l’un des succès du compositeur-musicien qu’était Boris Vian. Cinéma et jazz font, incontestablement, bon ménage. Du reste, l’an prochain un ciné-concert avec un film muet accompagne par un orchestre devrait figurer à l’affiche de la 17e édition.