IRISH COFFEE : BEAUCOUP PLUS QU’UNE SIMPLE BALLADE IRLANDAISE.
Chaque année, avec la concurrence et la sono de la Nocturne cycliste, le spectacle du samedi reste un défi pour la programmation des Transfrontalières. L’Irish Coffee Group l’a, cependant, relevé. Mieux, Vincent Inchingolo, à la guitare ; Myriam Natchtigall, à la flûte traversière ; Rémy Sastre, à la guitare et aux percussions, et Jean-Christophe, au violon, ont, à la fois, rempli l’Eden, et partagé leur culture celtique.
Des musiques traditionnelles, souvent au nom évocateur à l’image de « The Irish washer woman », « Toomore polka », « Sonny’s mazurka », « The red-haired boy » ou « Sonny Brogan’reel » aux chansons populaires dans des versions très originales de « J’entends le loup », « La belle s’est endormie » ou « Cockles and musselzs », le voyage se voulait original, riche de découvertes et particulièrement coloré.
Sollicitée, la salle a, chaque fois, répondu. Attirés par ces accents musicaux, une fois l’épreuve achevée, les spectateurs de la course cycliste rejoignaient même les amateurs de musique traditionnelle dans la salle de concert. C’est donc sous un tonnerre d’applaudissements et un double rappel que cette soirée musicale et sportive s’est achevée.