PLUSIEURS MILLIERS DE SPECTATEURS AUX RENDEZ-VOUS DE JUIN.
La salle Carpentier affiche quasiment complet pour les deux premiers rendez-vous de juin. Il en sera de même salle de l’Eden où de Benoît Joubert – bénévolement accompagné de Gil Alma, preuve si besoin de l’ambiance qui préside aux Transfrontalières – à l’Irish Coffee présent la samedi sur la scène hirsonnaise pour l’épilogue du festival – le public s’est pressé, encore plus nombreux qu’à l’accoutumé.
Pleine à craquer pour les ballets nationaux du Pérou et du Brésil, autres valeurs sûres de toutes les éditions, il fallut, chaque fois, ajouter des chaises afin d’accueillir des spectateurs pour répondre aux besoins. Preuve si besoin était du bien-fondé de la programmation et que diversité peut rimer avec qualité. Autour de la Cavalcade née en 1928 autour de No Piot, pour la 23e fois, les Transfrontalières ont su s’élargir et fidéliser leurs publics et innover.
A l’image du Festival « Mondial guitare » capable de réunir les jeunes guitaristes axonais en compagnie d’un des plus célèbres compositeurs brésiliens et de Benjamin Legrand, appelé à monter, dans le cadre du Festival de jazz, un concert-hommage à Michel, son père.