SON OBJECTIF ET JEAN-JACQUES GEORGES NE FONT QU’UN.
La 17e édition du Festival de jazz se veut ouverte à tous et à tous les styles. En même temps que la qualité des artistes invités, son éclectisme en fait son succès. Ciné concert, big band, variété française ou internationale. A la salle de l’Eden sont venues se joindre la galerie Arduin la salle Didier-Lockwood pour un hommage rendu par le Melon Jazz Band, la Micro-Folie pour un retour en images original et la galerie Gilbert Arduin pour compléter ce large éventail musical grâce à une exposition de photographies signées Jean-Jacques Georges.
Si Didier Lockwood occupe une place importante dans cette rétrospective artistique, il n’est, cependant, pas le seul à avoir foulé les scènes des salles Carpentier et de l’Eden. De Michel Legrand, présent lui au Sonhir, à André Manoukian et Elodie Frégé, en passant par Maurane, Guy Marchand, Michel Jonasz, Claude Bolling, Michel Delpech, victoria Abril, Mc Solar, Richard Galliano, Zanini, Marcel Azzola, Mike Stern, Jean-Jacques Milteau, Biréli Lagrène, Les Violons barbares, Diane Tell, Charlélie Couture, Movis Melvin Brown, Les Punini sisters sans oublier les hôtes des Transfrontalières parmi lesquels Kenji, Amir, Vita, Vianney ou les Fréro Delavega la liste est loin d’être exhaustive.
Du reste, Jean-Jacques Georges n’a pas oublié le Melon Jazz Band heureux de figurer, lui aussi, parmi les belles heures du festival ainsi mises en images et en lumière. Moments intimes ou partagés avec un public de fans, l’objectif et le tallent de JJG ont su discerner l’essentiel : l’émotion.