ROTONDE : BIEN PLUS QU’UN SIMPLE FEU D’ARTIFICE, UNE CRÉATION ÉBLOUISSANTE.
« Iko, Iko », le succès de Justin Wellington sur la confrontation des parades de deux tribus d’indiens ; « Jerusalema » composée et écrite par Nomcebo Zikode ou « Les corons », le titre iconique de Pierre Bachelet repris pour la circonstance par Les Stentors ; pour terminer par « Sister act » la chanson du film avec Whoopi Goldberg : au-delà des titres repris pour accompagner le spectacle de la Rotonde, après le compte à rebours égrené par Jean-Jacques Thomas, la création d’Yvon et de Thomas, Hamza débuta.
Il s’acheva 13’29 plus tard sans aucun temps mort. Éblouissante, grandiose, s’appuyant sur plus de 900 gerbes, colorées ou scintillantes, rapides ou plus lentes en retombant dans le ciel dégagé : cette nouvelle création pyrotechnique déclencha une belle ovation de la part d’un public encore plus nombreux qu’à l’accoutumée.
Dans le périmètre de sécurité, le cœur du site ferroviaire était comble pour applaudir les effets spéciaux. Au sol ou à 120 mètres de hauteur, les effets spéciaux n’ont pas manqué. Cette année, le point d’orgue des festivités marqua l’Histoire des Transfrontalières. Bien plus qu’un traditionnel feu d’artifice, les (autres) lumières de la ville.