AVEC ORMUZ, LE FOLK EN TRANS’.
Depuis le début des Transfrontalières, avec, évidemment, Keen’V et Gilbert Montagné, mais, également, salle de l’Eden, les spectacles ne désemplissent pas. Sans aucun doute ce record est-il lié au désir de se retrouver. La soirée de vendredi ne déroge pas à la tendance avec plus d’une centaine de spectateurs venus découvrir le groupe Ormuz.
D’origine des Hauts-de-France, cette formation crée en 2003 par Martin et Florian Huygebaert, rejoints, ensuite, par Olivier Catteau, clarinettiste et accordéoniste Laure Gagnon, flûtiste bretonne fan de musique irlandaise, Hubert Fardel, contrebassiste et Dorian Bour Wicart au violon, permit au public d’apprécier le chant à danser et de découvrir la richesse des patrimoines flamand, breton, berrichon, auvergnat, québécois et, évidemment, irlandais. L’occasion de faire résonner le parquet de l’Eden, comme au temps des bals populaires hirsonnais.