1 juillet 2009
ENTRE CINÉMA, MUSIQUE ET CHORÉGRAPHIE : LA (BELLE) SOIRÉE AMÉRICAINE DE L'HIRSONNAISE.
Il faut remonter à bien longtemps pour se souvenir d'avoir comptabilisé autant de spectateurs à l'intérieur de la salle Hébert. Non seulement les tribunes étaient combles, mais Jean-Pierre Bachelart et les responsables de l'Hirsonnaise ont dû aménager les extrémités de la halle des sports.
Même si le gala annuel de la gymnastique draine toujours une foule de parents et d'amis pour apprécier un spectacle dans lequel le sport le dispute à la chorégraphie imaginée par chacun des éducateurs.
Des papooses au retour des cow-boys, l'un des plus anciens clubs hirsonnais témoigne encore d'une réelle vitalité et d'une belle imagination en choisissant comme thème les U.S.A.
L'hommage (bien involontaire) à Mickaël Jackson précéda celui rendu à Elvis Presley, à Marylin Monroe ou aux Daltons.
La gymnastique était malgré tout omniprésente avec « les Marines » aux anneaux, le « trio en poutre et barre », le « solo en poutre », la « poutre attitude », le step « made in Hirson » ou encore le « jazz (passé) à la barre fixe ».
Sous la direction d'un Bruno Lecront, cow-boy plus vrai que nature en maître de cérémonie, la féminité n'en n'était pas moins au rendez-vous avec les « Pussycat dolls », une très estivale « escale à Miami » ou les « cheerleaders », symbole des matches nord-américains.
Sans oublier, les clins d'œil cinématographiques à « Men in Black » ou à la comédie musicale chère à Lisa Minnelli « New-York, New-York ».
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