« LES FRANCARTISTES » : LA NOUVELLE ÉCOLE ARTISTIQUE MARQUE EN RYTHMES LA FIN DES VACANCES.

A l’instar de la désormais traditionnelle fête de fin de centre, en août comme en juillet, les accueils de loisirs n’ont manqué ni de rythme, ni d’ambiance. Du reste, pour clore en beauté le mois qui s’achève, en compagnie des parents et des élus hirsonnais, tous se sont déhanché sur les musiques de « Papa pingouin » et de « Tchic et Tchac ». 

Auparavant, avec, en moyenne, une centaine de garçons et filles, les rendez-vous quotidiens furent, pour chacun, l’occasion, se s’initier à l’art. « Aux arts », précise Stéphane Bizeau, le Directeur des Francas, puisqu’après les cinq continents, le mois dernier, cette fois, les différentes classes d’âge ont découvert cinq disciplines : la danse, le théâtre, le cinéma, le graphisme et le cirque.

Lors de la représentation donnée salle de l’Eden, les animateurs ont d’ailleurs mis en scène les découvertes et le travail des enfants réunis dans une école artistique, baptisée pour la circonstance, « Les Francartistes » visitées par un enfant. Les professeurs de chaque section lui ont, ainsi, présenté alors leur programme, évidemment applaudi par la salle.

Si les maternels ont repris le tube des « Enfoirés » « Attention au départ », pour la danse, l’éventail a placé les plus petits sous les projecteurs avec « Bara Bara », « Ghost’m stuff » pour les 8-9 ans, « Kenza farah » pour les 10-11 et « Fiesta Bueno » pour les ados. Par ailleurs, grâce au stage « cirque » renouvelé en début de mois, les arts de la piste ont permis aux jongleurs, acrobates et autres magiciens en herbe de braver avec succès les feux de la rampe tandis que  les acteurs ont choisi d’interpréter « Blanche neige », évidemment accompagnés de ses sept nains.

Outre l’exposition graphique présentée à l’entrée de l’Eden, pour leur part, les cinéastes ont tourné deux fictions autour de « Scoubidou » et des « Chevaliers de la couronne ». Bref, même si les vacances se terminent, les souvenirs demeurent bien présents et, sans doute, pour longtemps.