COMPTE ADMINISTRATIF DE LA VILLE D'HIRSON : 3,3 MILLIONS INVESTIS.

Outre le bilan financier qui se traduit pour la Ville d'Hirson par une épargne de 669 299 €, le compte administratif 2009 reprend également l'ensemble des travaux réalisés. Ainsi, par exemple,  la modernisation des écoles et de la restauration scolaire se poursuit. La réhabilitation du « Centre Education Jeunesse » entre dans sa phase terminale tandis que l'important chantier de rénovation de la salle Geo rges Hébert est totalement achevé comme la création d’un terrain de basket au Champs-Elysées. 

L’informatisation des deux bibliothèques municipales est également à porter au nombre des réalisations au même titre que l’important programme de réparation des dégâts d’hiver 2009, initié notamment grâce au Conseil général. Toujours au niveau de la voirie, l’exercice 2009 a vu la rénovation des ponts d’Arcole et Pasteur. Dans ce même quartier, les façades du CSAC sont maintenant réhabilitées. En matière de logement, l’aménagement des cinq parcelles, rue de Lorraine, et le lotissement rue Chanzy ont démarré. L’aménagement du site de Blangy se poursuit également avec l’inauguration, en mai, du sentier découverte.

Face à ces investissements, Jean-Jacques Thomas a donc mis en exergue l’importance des partenariats et des subventions, à hauteur de plus de 769 000 euros. « Ces subventions, expliqua encore le Maire d’Hirson, ont permis un moindre recours à l’emprunt, une nouvelle fois limité à 368 000 euros.

Au total, les recettes réelles de fonctionnement s’élèvent, quant à elles, à 10 829 797 euros. Elles ont permis de contenir la fiscalité une fois encore. « Même si, déjà l’année dernière, poursuivit-il, , nous pressentions dans le contexte de crise économique et sociale et des réformes à venir, que l’année 2010 serait une année difficile avec des choix qui le furent tout autant l’exécution du budget 2009 se caractérise donc par un niveau d’investissement préservé, en adéquation avec les prévisions budgétaires, en soutien au tissu économique local, avec également une annuité de la dette en baisse et, donc, un désendettement poursuivi ».

« Voilà pourquoi, conclua Jean-Jacques Thomas, ce compte administratif 2009, fut bien celui des engagements pris et des engagements tenus. En clair, nous avons dit ce que nous allions faire et nous avons fait ce que nous avons dit. 

Notre gestion s’est ainsi révélée adaptée aux enjeux locaux, tout en faisant face aux conséquences d’une crise subie et de réformes imposées ».