POUR CLAUDE ET FRANÇOISE DELPLANQUE, LES NOCES COMME LE DIAMANT SONT ÉTERNELS.
Le 10 décembre 1955 devant Gaston Courteville, Maire de Buire, comparaissait Claude Delplanque, commis boucher, né Hirson et domicilié rue de Vervins à Origny-en-Thiérache ; et Françoise Drouart, sténo-dactylographe, également née à Hirson, et demeurant 27, rue des mécaniciens à Buire. Soixante ans plus tard, devant Pascal Lecerf, Adjoint au Maire, le couple a retrouvé la Mairie de Buire pour « cette fête de la parole donnée et de la parole tenue », mais, également, comme le souligna l’élu « un moment rare, donc exceptionnel ».
Avant de lecture de l’acte de mariage par Christian Viéville et la signature du livre d’or, Pascal Lecerf présida donc cette cérémonie des noces de diamant et l’anniversaire d’une union qui donna naissance à Catherine, à deux petits-enfants, François et Jean-Baptiste, et à quatre arrière-petits-enfants, Fabien, Léa, Pascal et Hugo.
Pour Jean-Jacques Thomas, ces retrouvailles témoignent également de la force d’une union dans une société qui venait de sortir de la seconde guerre mondiale, et qui allait bientôt être marquée par la guerre froide et la guerre d’Algérie, démontrant, cependant, que l’amour est (toujours) plus fort que la haine et les diamants dont en fait les noces sont, eux aussi, éternels.