SUR LE CHEMIN DE L’ESPOIR, LES PAS DE MAXOU.

Cela pourrait être un joli conte de Noël. C’est, de toute évidence, une merveilleuse conjonction de la volonté et de la foi dans la science. Une certitude, à 17 ans, Maxou ne serait pas ce qu’il est, en tout cas, en capacité de continuer à vivre ses rêves. Sa amour pour le football n’est plus à démontrer. Voici quelques jours, dans son fauteuil, il donnait le coup d’envoi du tournoi de futsal organisé pour collecter des fonds à son intention. Vincent Drouet et son équipe ont, ainsi, réuni 300 €. Ce qui ne se mesure pas chez Maxou, c’est sa passion communicative pour les Verts. N’a-t-elle pas convaincu ses parents de quitter la Thiérache pour Saint-Etienne et l’ASSE ?  Face à la maladie, son courage s’est, également, renforcé en fonction des progrès et des soins dispensés en Espagne. Toujours d’actualité, ce combat pour financer ce traitement novateur nécessite la même pugnacité et une entière humanité.

A l’horizon familial se profile à l’été 2016, la possibilité d’acquérir une combinaison dotée de capteurs capables de stimuler les muscles qui ne fonctionnement pas. Un investissement évalué à 5 400 € pour lesquels les moyens manquent encore. D’où l’appel à une générosité qui ne se dément pas lors de la foire de Sainte-Catherine sur le stand dressé près la place Victor Hugo ou dans le cadre du marché de Noël. Pour ce faire, l’originalité est, chaque fois, de mise, 82 tickets vendus 2 € pour deviner le poids d’un jambon et de trois mètres de saucisses sont venus s’ajouter aux enveloppes surprises ou aux objets vendus. Au total, 900 € ont ainsi été collectés. Un pas supplémentaire pour Maxou, une avancée sur le long chemin de l’espoir.