UNE DIZAINE DE GARDES PARTICULIERS VONT ENTRER EN FORMATION.
Tant au niveau de la ville que de la Communauté de communes, une dizaine d’agents font suivre la formation de garde particulier. Si ces agents ne sont pas appelés à suppléer les gendarmes, après une formation spécifique, ils auront néanmoins le pouvoir de verbaliser dans le cadre de leurs fonctions et des compétences assumées par la collectivité. Par exemple, les auteurs de dépôts sauvages de déchets s’agissant de la Communauté de communes ou d’occupation illégale de la voie publique pour la ville.
Placé sous la surveillance du Procureur de la République et sous l’autorité de son employeur, Maire ou Président de l’intercommunalité, le garde particulier, expliqua hier Jean-Michel Berteaux, n’est pas un agent de la force publique. Néanmoins, il aura le pouvoir de constater par procès-verbal les délits et les infractions. Deux jours de formation sont, d’ores et déjà, programmés les 24 et 25 avril au Sémaphore. A l’issue d’un examen, il sera ensuite assermenté devant le tribunal d’instance.