DÉSERTS MÉDICAUX : A BLOIS, JEAN JACQUES THOMAS PLAIDE POUR UNE RÉGULATION PARTAGÉE.
La crise Covid a, incontestablement, légitimé l'intervention des élus dans le domaine de la santé. La pénurie de soignants, autant en ville qu’à l’hôpital, les amène, aujourd'hui, à être en première ligne face à une démographie médicale en berne. Hier à Blois, lors du séminaire de la Fédération Nationale des Élus Socialistes et Républicains (FNESR) et de la table ronde animée par Guillaume Garot, Député de la Mayenne, et Frédéric Chéreau, Maire de Douai, Jean-Jacques Thomas est intervenu en écho au travail parlementaire de Jean-Louis Bricout.
Chacun convient qu’il n’est plus, aujourd’hui, possible de considérer l’exercice de la médecine tel qu’il était hier, ni d’accepter l’extension des déserts médicaux à plus de 10 millions de français. Pour le Maire d’Hirson, la convention signée entre l'assurance maladie et les chirurgiens-dentistes pour la régulation des installations va dans le bon sens. Comme celles, auparavant, passées avec les pharmaciens, les infirmiers et kinés. De même, nota Jean-Jacques Thomas, la nomination prochaine d’une nouvelle direction à la tête d’HiNoVe renforcera l’indispensable coopération ville - hôpital et les relations transfrontalières.