9 janvier 2015
UNE MINUTE DE SILENCE POUR DIRE, A HIRSON, COMME AILLEURS, « NOUS SOMMES TOUS CHARLIE ».
Les visages étaient fermés. Devant la scène, sur un fond noir, la Municipalité avait fait coller les affichettes solidaires « Je suis Charlie ». La minute de silence demandée par Jean-Jacques Thomas s'est alors avérée lourde de sens, aussi lourde que...