3 juin 2009
LES DIABLES ROUGES : UN ZEST DE PIMENT ET UN SOUPÇON DE CARNAVAL ANTILLAIS.
Ils ont constitué l’une des révélations du défilé. Il est vrai que depuis six ans, « Ethnick’97 » œuvre pour le partage de la culture antillaise dans ses formes les plus diverses. Des concerts de Noël au groupe féminin de percussion en passant par l’orchestre de rue avec ses soixante musiciens et danseurs et même le théâtre avec une version antillaise de « Roméo et Juliette » ou encore un marmonneur providentiel dans une adaptation de textes d’Aimé Césaire, l’association constitue un furieux mélange d’amateurs, de volontaires et de professionnels.
A Hirson, les percussions et le rythme étaient de circonstance, offrant au carnaval ses couleurs de feu avec les diables (et diablesses) rouges, « une manière festive, explique le responsable du groupe, de présenter un soupçon de la tradition du carnaval Antillais. Il est vrai que les danseuses habillées en Mariann la po fig et leurs musiciens ont largement assuré.
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