4 juin 2014
DANS LE BESTIAIRE POÉTIQUE DE THOMAS FERSEN, UNE CHAUVE-SOURIS AMOUREUSE D'UN PARAPLUIE, MAIS PAS SEULEMENT.
/https%3A%2F%2Fstorage.canalblog.com%2F20%2F75%2F118811%2F96657275_o.jpg)
Il ne craint ni le taureau, ni le cheval, mais il a « peur de s'faire mordre le ver par un brochet ». Arrivé avec une chaussure au bout de chaque bras, Thomas Fersen n'a, pourtant, que deux pieds : titre selon lequel, il est paresseux et ne fait que ce...